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Vous êtes ici : Quarante-Deux KWS Sommaire du nº 12 éditorial

Keep Watching the Skies! nº 12, mai 1995

Éditorial : attention les yeux !

par Pascal J. Thomas

J'avais joyeusement composé mon premier numéro de KWS, le 11, en corps 12. De quoi bourrer quelque soixante-dix mille caractères dans ses vingt-huit petites pages, le tout pour un prix parfaitement compétitif avec celui de l'édition grands format. « Il faudra que les lecteurs aient de bons yeux… » me fait remarquer notre fidèle imprimeur, Francis Valéry — il connaît hélas trop bien la question, étant sur la touche pendant quelques jours à cause de ses yeux, justement, ce qui vous vaudra — horreur ! — un numéro 12 imprimé par mes soins, et quelques retards, chers abonnés, acceptez nos plates excuses —.

Ce numéro-ci — sauf mon éditorial, encore trop bavard ! — s'essaie donc au corps 14, tempéré par une réduction dont vous ne voulez pas connaître les horribles détails. Je compte sur vous pour m'envoyer les recommandations de votre ophtalmo, mais je doute de pouvoir faire plus gros car — et je m'en réjouis — les collaborateurs affluent à KWS, voir le sommaire. Il me faut repousser des articles au numéro suivant, pratique périlleuse qui a rendu incompréhensibles certaines des références de Jean-Louis Trudel dans le numéro précédent — ses chroniques du Fleuve noir "Anticipation" formaient un tout, dont les derniers fragments paraissent ici.

Vous remarquerez qu'un embryon de rubrique "Infos" apparaît en fin de ce numéro — surtout parce que je crois important de diffuser l'information sur le prix Rosny aîné organisé chaque année pour couronner des œuvres de SF ou de Fantastique francophones —. Et en passant, félicitations à Destinations crépuscule.

Certains lecteurs, en se réabonnant, me demandent plus d'infos. Je ne crois pas que ce soit la mission première de KWS — il y a d'autres fanzines qui font ça bien mieux, comme Yellow submarine —. Mais si vous m'envoyez de petites infos, ou de petits commentaires, nous verrons bien…

Enfin, le débat toujours présent sur les chroniques de livres en anglais continue. À leur présence, je vois plusieurs raisons :