KWS : comptes rendus de lecture sur la Science-Fiction

Stéphane François : le Nazisme revisité : l'occultisme contre l'histoire

essai, 2008

chronique par Éric Vial, 2011

par ailleurs :

Il y avait de bonnes raisons, universitaires et sciencefictionnesques (ou intérêts circonvoisins), de s'intéresser à cet essai. Depuis la réputation intellectuelle méritée de Berg, la maison d'édition, jusqu'à la couverture empruntée à la bande dessinée de David Brin et Scott Hampton, D-Day, le jour du désastre, uchronie à base de Fantasy. Et les liens avec la Fantasy, justement, avec l'histoire secrète et avec d'autres carabistouilles ou calembredaines trop souvent voisines de la SF, et souvent tout à fait justiciables d'un traitement sérieux comportant un étrillage soigné. Las, ce n'est sans doute pas pour cette fois en ce qui concerne sinon l'étrillage, bien présent, du moins pour le sérieux. On a même un assez bon échantillon de ce qu'il serait bon d'éviter. Malgré l'annonce (p. 12) d'une volonté en théorie tout à fait louable d'archéologie et de déconstruction : le simple affichage programmatique ne saurait pourvoir à tout.

Brièveté et maladresses font penser à un mémoire de maîtrise de naguère, de master 2 aujourd'hui, alors que l'auteur n'est pas à son coup d'essai, avec quatre ouvrages publiés en trois ans, sur l'ufologie et l'extrême-droite, le néo-paganisme, et la musique dite “europaïenne”, et alors qu'une brève vérification googlesque le montre docteur en Science politique et vacataire à l'université catholique d'Angers, maison par ailleurs honorable. Il aurait par exemple pu être bon de définir ce dont il est question, pour le sujet lui-même cela aurait pu être fait autrement que par une énumération de brèves définitions de l'occultisme (p. 9), énumération close par « l'approche universitaire dans laquelle nous nous situons » sans autre précision ni référence ; pour les détails, autrement par exemple qu'avec des explications comme (p. 96) « les fanzines, c'est-à-dire une publication artisanale et confidentielle sans dépôt légal » — ajoutons que si “mythe” est défini (tardivement, p. 99), c'est à partir du Petit Larousse, lecture certes estimable mais parfois un peu rudimentaire, et qui mène en l'occurrence à des conclusions un tantinet étranges. Il aurait pu être bon, aussi, de ne pas mélanger d'une part des chercheurs sérieux, le fait qu'ils soient ou non estampillés comme universitaires important peu ici (on trouvera p. 96 l'ami Joseph Altairac), et d'autre part de purs idéologues d'ultra-droite ou des fumistes patentés pratiquant la polygraphie sans fil ni filet, et ceci sans indication permettant au lecteur de distinguer commodément qui est qui. Bon aussi d'éviter de convoquer des autorités (d'ailleurs discutables) pour asseoir des banalités, selon la technique du personnage du frère de Jesse James dans un album de Lucky Luke : bidonnage en moins sauf preuve du contraire, « Selon Mircea Eliade, tout mythe est relié au réel » (p. 101) vaut à peu près « “Il pleut.” (Hamlet, acte 3, scène 1). ». Et bon aussi de ne pas malmener, parfois, le français, comme quand (p. 31) il est question de « pseudo-affirmation » pour une affirmation controuvée.

Il aurait pu être bon, enfin, d'éviter de se contredire de page en page. Ainsi, ce qui nous rapproche fortement de la Science-Fiction et/ou de ses banlieues, l'auteur fait (p. 41) du Matin des magiciens le point de départ du discours (de tout discours) sur le néo-paganisme ou l'occultisme nazi, et en expliquant par exemple (p. 103) que le scénario de D-Day plus haut cité découle d'une phrase de ce livre (sans référence montrant que Brin a effectivement lu l'ouvrage) ; or il a indiqué auparavant (p. 13 puis 51) que le « supposé “néo-paganisme” du nazisme a fait couler beaucoup d'encre dès la création de ce parti, en particulier dans les milieux catholiques », avec une note renvoyant à un numéro d'avril-mai 1924 des Études, la grande revue intellectuelle jésuite, ce qui est quelque peu antérieur, trente-six ans, une paille, au volume sus-cité. Cette propension à faire du Matin des magiciens le point de départ de tout le sujet, même parfois autocontredite (cf. aussi p. 65) se retrouve ailleurs, comme quand on lit (p. 97), après un passage en revue de groupes supposés musicaux et en tout cas à références nazies, que « le livre de Pauwels et Bergier a donc [c'est moi qui souligne ; rien ne semblait aller en ce sens dans les lignes précédentes] joué un rôle, certes indirect, mais inspirant, dans l'élaboration de la conception occulte de l'Histoire, et du nazisme en particulier, de ces musiciens » ; comme on touche à un sujet déjà étudié par le même auteur, on peut imaginer qu'il ne fait ici que résumer avec maladresse, et en sautant maintes étapes du raisonnement et maintes informations, ce qu'il a montré ou démontré ailleurs — mais dans ce cas, il aurait été judicieux de renvoyer le lecteur à des lectures complémentaires : les notes d'un ouvrage à vocation scientifique ont (entre autres) cette fonction. Toujours à propos du Matin des magiciens, on peut s'interroger sur une phrase comme « les émules de Bergier et Pauwels prirent leur prose pour argent comptant » (p. 66) qui évacue de fait la possibilité du pur mercenariat de plume, pour ne pas dire de la simple escroquerie consciente, à froid, destinée à exploiter le succès du livre supposé initial, et toujours possible à côté des hallucinations d'illuminés franchement nocifs mais sincères.

Autre relative incohérence, celle qui semble, sauf erreur, consister à s'en prendre à ceux qui parlent de Hitler comme d'un médium (ceci sans trop distinguer qui le dit en y croyant ou qui suppose que lui y croyait) et non de troubles psychiques, pour conclure par « De fait, il fut à la mode dans les années soixante-dix d'interpréter la politique hitlérienne à l'aune de la psychanalyse » (p. 29). Il m'est difficile, même si c'est sans doute de la paranoïa instinctive liée au souvenir de quelques collègues universitaires, de ne pas soupçonner une opération de déligitimation de quiconque n'est pas l'auteur, par une double condamnation fonctionnant façon tenailles : parler de troubles psychologiques comme ne pas en parler revient à avoir tort.

Un amalgame douteux me semble fait également par l'auteur entre ceux qui parlent de dingues ayant après tout réellement existé et déliré sur des histoires de forces occultes d'une part, et ceux qui croient réellement auxdites “forces” et à « une guerre occulte menée par les nazis contre les nations occidentales » (p. 29), amalgame que l'on retrouve ensuite, même si ce pourrait alors n'être qu'une maladresse d'écriture (p. 75-76). Et ça continue : le néo-paganisme déjà évoqué fait l'objet d'un traitement quelque peu étrange. Il semble y avoir une farouche volonté de nier tout lien entre lui et le nazisme, dans des termes qui pourraient parfois laisser penser que l'auteur, consciemment ou inconsciemment, le juge plus condamnable que ce dernier, quand il parle de « cette accusation de néo-paganisme » (p. 42) ou écrit dans un style discutable que « accuser de paganisme le national-socialisme est fréquent » (p. 41). Inversement, le même auteur semble en prendre plus ou moins la défense quand il explique que les néo-païens ont été persécutés par le régime nazi (p. 42), quitte à indiquer ensuite qu'en fait de persécution il s'agissait d'une unification forcée dans une confédération officielle, ce qui impliquait des difficultés pour certaines organisations (p. 52). Certes le régime nazi semblait effectivement pencher pour un « christianisme allemand » excluant l'Ancien Testament par antisémitisme (p. 43), d'où d'ailleurs l'intérêt pour le catharisme qui fait de même pour sans doute d'autres raisons, penchant que l'on peut expliquer par la nécessité de ménager les structurations séculaires de la vision du monde par les populations ; certes, on peut à bon droit affirmer que ledit régime a davantage visé une récupération nationaliste d'une mythologie germanique folklorisée qu'une reconstitution du paganisme (p. 45), ne serait-ce que parce qu'il a eu fondamentalement une visée parareligieuse destinée à se substituer à toute religion antérieure ; mais en même temps, il est délicat d'éliminer d'une pichenette, après les avoir évoqués, tels personnages délirants de l'entourage de Himmler (p. 47) ou d'affirmer que l'intérêt nazi pour l'occultisme, noté, reconnu, n'aurait aucun rapport avec les choix politiques, en particulier dans le cas de Rudolph Hess (p. 32). De même, il me semble que l'auteur se prend les pieds dans son propre tapis, en évoquant dans son style parfois assez spécifique « le supposé paganisme de la SS, qui est toujours sujet à caution » (p. 48), puis en expliquant qu'avec le temps l'aspect païen s'est dilué, puis que vers la fin de la Seconde Guerre mondiale cette même SS a insisté sur l'image d'une aristocratie païenne (p. 75), et qu'une imagerie de hard rock récupérant runes et symboles nazis est « directement tributaire du bricolage politico-religieux des SS » (p. 98). Le point culminant est peut-être atteint avec l'usage semble-t-il au premier degré (p. 56-57) d'une définition “du” juif qui me semble clairement antisémite, a été empruntée à une vieille connaissance du monde des littératures de genre, doué par ailleurs, Pierre Gripari, et a été publiée par celui-ci dans la revue Défense de l'Occident en mars-avril 1975.

On trouvera bien entendu dans ce livre des choses mieux fondées et plus intéressantes — je ne parle pas ici de la longue fiche résumant l'histoire de la croix gammée (p. 36-39). Mais ces choses sont souvent exprimées trop rapidement, du moins à mon goût. C'est le cas à propos du nazisme comme religion, pseudo-religion ou religion séculière (p. 58-59) avec ses mises en scène (p. 61), encore que celles-ci soient supposées déboucher sur de véritables cultes après 1945 (p. 62), ce qui semble plus problématique, d'autant que l'auteur embraye alors immédiatement et une fois de plus sur le Matin des magiciens (p. 63 sqq). On trouve aussi quelques éclairages sur les présupposés de gens que nous nous sommes plus ou moins habitués à considérer comme de sympathiques farfelus ou d'inoffensifs escrocs, et qui sont bien plus inquiétants et déplaisants que ça, comme Charroux avec ses hyperboréens bons aryens, blancs comme il se doit, originaires de Vénus histoire de bien les distinguer des autres populations terrestres et des peuples et civilisations non-européens (p. 69-70). Cela dit, ces indications débouchent vite sur un catalogue partiel de l'extrême-droite, ce qui a déjà été fait ailleurs, qu'il s'agisse de groupes néo-païens néo-druidiques obsédés par le “mondialisme cosmopolite”, de Saint-Loup et autres ésotéristes néo-nazis à forte propension pour la vaticination délirante, éventuellement catharisme à la Otto Rahn, de Miguel Serrano, non moins répulsif et non moins “atteint”, de délires sur le Graal et sur Monségur, de néo-païens mus par un ruralisme antimoderniste et parmi eux d'un Jean Mabire ésotériste délirant sur Thulé ou l'origine circumpolaire des Indoeuropéens, des liens avec le GRECE et la “nouvelle droite” des années 1970 (p. 74-86, passim), de dingues variés façon Livre jaune, d'antisémites à prétentions antireligieuses ou des prétendus Protocoles des Sages de Sion étudiés et démontés en détail par P.A. Taguieff (p. 77). Des généalogies que je n'oserai pas tout à fait qualifier d'intellectuelles, passant par la fin des années 1950 et mises en évidence par le même P.A. Taguieff sont rappelées (p. 81), sans d'ailleurs que soit interrogée l'articulation avec le Matin des magiciens, toujours vaguement supposé source et origine de toute chose et de tout mal ou presque.

Cette sévérité globale, même si elle me semble mal appliquée pour ce qui est du dernier livre cité, me conviendrait bien, du reste, si elle ne me faisait m'inquiéter par contraste d'une assez étonnante mansuétude envers Julius Evola, avec recopiage des plaidoyers intellectualisants supposés montrer que son paganisme serait une ligne métaphysique et non un programme politique raciste et nationaliste (p. 69), et insistant sur la supposée complexité de ses rapports avec le nazisme (p. 83)… Parmi les antipathiques signalés, semble par ailleurs figurer p. 87-88, une maison d'édition d'extrême droite, dont l'audience réelle n'est pas estimée, mais qui si j'ai bien compris semble bénéficier de quelque indulgence car elle publie des textes hostiles à l'occultisme nazi, et accessoirement au Matin des magiciens : c'est peut-être un peu mince et déplacé pour une délivrance de certificat d'honorabilité.

L'impression de relative incohérence continue avec l'annexion au sujet (l'occultisme nazi, toujours) de choses pour le moins hétérogènes, depuis "les Grandes énigmes de l'occupation", collection de volumes de poche à forte reliure publiés par un éditeur me semble-t-il genevois et en tout cas spécialisé dans la vente par correspondance, jusqu'à des films comme Ces garçons qui venaient du Brésil (p. 91), les Damnés, Salo, Portier de nuit (p. 92) dont le moins qu'on puisse dire est qu'ils sont d'ambitions et d'inspirations assez diverses, et que pour le dernier, le cul tout court semble sensiblement plus présent que l'occulte, celui-ci ne me semblant pouvoir être assimilé au sadomasochisme que moyennant des contorsions dont toutes ne sauraient être écrites avec précision ici sauf à choquer d'éventuelles âmes pures. Il explique par ailleurs, et cela nous ramène un peu moins loin de ce qui est en principe la thématique de KWS, que les théories de l'occultisme nazi ont été popularisées (terme redoutablement polysémique) par Indiana Jones (p. 93), que la bande dessinée n'a commencé à parler du nazisme que dans les années 1990, affirmation supposée assise par un résumé de Hellboy ; on parle aussi rapidement de jeux vidéo, avant de passer à la spécialité du cuistot, la musique “europaïenne” dont le moins qu'on puisse dire est qu'elle n'a pas tout à fait le même impact public, ce dont on ne se plaindra certes pas. Histoire de lester davantage le propos, on assimile plus ou moins à ce dernier genre le black metal nazi, apparemment peu différent dans l'esprit de l'auteur du hard rock, musique par ailleurs réputée « largement influencée par une littérature mineure, l'heroic fantasy apparue à la suite de J.R.R. Tolkien » (p. 97) : on peut ne pas être amateur de Fantasy et apprécier médiocrement et la généalogie et l'amalgame. Tout cela permet de parler ensuite des « différentes subcultures analysées précédemment » (p. 99) quand elles ont été à peine plus que mentionnées.

Par ailleurs, la transition entre le présent et les racines à géométrie variable, bergiéropauwellsiennes ou antérieures, semble assurée par une lecture globale de l'évolution socio-intellectuelle du monde occidental qui laisserait pantois devant tant de puissance de synthèse si une voix insidieuse ne venait susurrer qu'il s'agit de pipeautage caractérisé : en effet, on a l'impression que l'auteur diagnostique une poussée néo-nazie à partir de la mi-années 1970, entre crise économique et fin des poussées révolutionnaire ou hippie ; il explique à ce propos que « l'époque devient nihiliste » et en veut pour preuve l'usage des symboles nazis par le punk (p. 70-71) ; il évoque plus loin un tassement dans la décennie suivante avant une explosion de blogs et une « diffusion massive » (p. 106) qui confond d'ailleurs peut-être la mise à disposition non moins massive de délires rendus immédiatement accessibles par l'internet avec leur réel impact — même si, écrivant cela, je suis peut-être trop optimiste sur nos immédiats contemporains. Pour en revenir à son analyse, elle semble fort courte, et peu corroborée par les faits, en particulier bêtement électoraux ; d'autant que lui-même se replie très vite sur son discours un peu bancal centré sur les années 1960 (p. 74). En pratique, il semble se défausser sur P.A. Taguieff et sa Foire aux illuminés dont il semble cependant recopier en priorité les amalgames les plus abrupts et les plus éloignés du champ de compétence de cet auteur (p. 73).

Pour finir, il m'a semblé percevoir qu'un certain nombre d'idées générales étaient mises en avant. Ainsi, on lit (p. 99) que « les traits généraux de cette forme d'occultisme tendent vers le discours mythique » à partir d'une réécriture de l'Histoire, sans qu'il soit précisé si le résultat relève de l'histoire secrète ou de l'uchronie, précision qui n'entre pas tout à fait dans le propos. Il s'agirait, pour les néo-nazis, d'une réécriture (p. 100) consolatoire, mais surtout d'un moyen de comprendre l'incompréhensible (p. 101) d'où un curieux commentaire d'où il ressort que des gens ayant vécu une époque (présupposé d'ailleurs discutable) devraient la comprendre (p. 102) et qu'on a affaire à « une frange de plus en plus acculturée de la population occidentale » (p. 103), ce qui pousse à se demander quel est le sens exact du mot “acculturée”. Il invoque ensuite une « tactique de l'euphémisation du nazisme par l'occultisme » (p. 104), ce qui est assez curieux car quelques pages plus tôt, peut-être par maladresse, il semblait (p. 92) se plaindre de ce que « la SS [soit] devenue l'incarnation pure et simple du mal ». Et il conclut par les plus vastes perspectives intellectuelles, en expliquant (p. 106) que cette littérature peut s'inscrire dans un discours occultiste ou dans un discours de droite extrême, ceci sans d'ailleurs se demander quelle est la part de l'ésotérisme de bazar dans le néo-nazisme, et quelle est la part du néo-nazisme dans ce même ésotérisme.

Au total, il est des comptes rendus dont la rédaction prend autant de temps que la lecture normale du mince ouvrage dont ils parlent. Ne serait-ce que parce que parfois, devant une note prise peu avant, on se demande si on ne s'est pas trompé, si cela ne veut pas dire autre chose, s'il ne faut pas aller vérifier, à cause de contradictions patentes, d'affirmations ne tenant pas la route, d'amalgames approximatifs. Et on en vient à se demander de quoi il s'agit au total. S'il s'agit de dire que le nazisme, ce n'est pas bien, peut-être n'a-t-on pas attendu ce livre. Quand on a par ailleurs quelques raisons familiales de le savoir, assez précises, on se sent même plus ou moins autorisé à s'énerver. À trouver qu'il ne suffit pas de se draper dans sa vertu et de condamner hautement le mal pour avoir tapé juste. À trouver accessoirement qu'à ce jeu, les feus Pauwels et Bergier finissent par apparaître comme des victimes, tant la charge contre eux est fondée sur des amalgames, des manipulations, des lectures de vingt-sixième main, des approximations, etc. Et que le danger existe de voir des plaisantins malintentionnés instrumentaliser les maladresses et les pures bêtises pour révoquer en doute d'autres affirmations, voire voler au secours de l'imbécillité et de l'abomination, lesquelles, supposées étrillées par l'auteur, se retrouveraient renforcées (dans une mesure limitée, n'exagérons rien, heureusement)… Perspective fort peu réjouissante mais hélas plausible.

Éric Vial → Keep Watching the Skies!, nº 68, mars 2011

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